Nom/Surnom : Son nom de code : CyborgA3868-4X
Prénom : Son concepteur l’appelait Nausicäa, mais la plupart des gens l’appellent « Ordinateur », ou encore « Cyborg »…
Âge : En apparence, elle a environ 17 ans. Mais elle est venue au monde il y a à peine quelques jours…
Date de naissance : Un certain vendredi 13...
Sexe : Féminin
Sexualité : Un cyborg ne choisi pas sa sexualité, il subit celle que lui impose son maître.
Caractère / Goût(s): Le défaut prédominant de Nausicäa est son incorrigible curiosité ainsi qu’une certaine incompréhension au niveau relationnel… Elle est donc très maladroite en ce qui concerne les sentiments vis-à-vis d’autrui. Ce manque est malgré tout comblé par une grande intelligence de la part de la jeune cyborg, ainsi qu’une maîtrise d’une cinquantaine de langues différentes. Mais ce qui la rend si particulière est l’absence du programme du respect des trois Lois de la robotique dans son disque dur… Pour contrer la peur du « syndrome de Frankenstein » des créations se retournant contre leur créateur, les cyborgs et androïdes seraient construits à partir de trois axiomes, appelés Lois de la robotique :
Première Loi : Un robot ne peut pas porter atteinte à un être humain, ni rester passif devant un être humain exposé à un danger.
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi.
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n’est pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi.
Nausicaa a donc la capacité de penser et d’agir comme un être humain, libérée de toute contrainte…
Description physique : Nausicäa possède l’allure d’une jeune fille asiatique d’environ 17 ans, menue et de petite taille. Ses cheveux d’ébène ont un aspect soyeux et brillant et descendent en cascade le long de son dos jusqu’au creux de ses reins. Ses yeux sont aussi sombres que ses cheveux, ce qui donne un aspect morbide et totalement dénué d’expressions à son visage. Sa peau pâle et diaphane jure sur ses lèvres violines. Sa peau est aussi froide que la mort car, sous le peu de chair qu’elle possède, une mécanique complète constituée d’éléments d’aluminium et de fer lui permet de se mouvoir et de se fondre dans une foule humaine. Même les égratignures et les coups que lui afflige son maître actuel apparaissent sur sa peau aussi vraies que nature, à moins qu’elles ne soient profondes et laissent ressortir son ossature ferreuse. Un détail, cependant, peut la trahir : le code barre qui s’affiche clairement sur la base de sa nuque…
Transformation(s) :
- Certaines modifications corporelles…
Keyblade choisie: Iron Dragoon (création personnelle)
Armes/Objets :
- Faucille
- Fils tranchants
Magies/Rayons/Techniques :
- Nuée tranchante
- Les fils de la vie
- Programme d’apprentissage catégorie « Machine de guerre »
Race :
• Cybernétique (Space Paranoids)
Animal de compagnie : Aucun
Poids : Cette cyborg à l’allure fine et svelte pèse malgré tout 65 kg à cause des matériaux lourds qui la constituent.
Taille : 1m58
Histoire : Le professeur Kawashima est celui que l’on pourrait appeler le « père » de Nausicäa. Il en est le concepteur ainsi que le créateur. Son projet : créer un cyborg capable de mettre au monde un être humain intus. C’est pourquoi, dans les profondeurs de son laboratoire, à l’abri des regards indiscrets, il créa Nausicäa à la demande d’un client au budget aisé. Mais, ce que le professeur Kawashima ignorait alors, c’est que son « enfant » allait servir d’objet pour assouvir les envies de ce client… Lorsqu’il l‘appris, il voulu évidemment reprendre sa précieuse création et rembourser l’homme. Mais ce dernier mis fin aux jours du scientifique sans autre forme de procès…
L’androïde a été programmée afin de répondre aux trois Lois sexuelles de la robotique :
Première loi : Un robot ne peut accorder d'étreinte à un être humain sans son accord ni, restant passif, laisser cet être humain se consacrer au plaisir solitaire.
Deuxième loi : Un robot doit obéir à tous les désirs pervers des êtres humains, sauf si ces désirs sont en contradiction avec la Première Loi.
Troisième loi : Un robot doit protéger sa virginité dans la mesure où cette protection n'est pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi.
Elle est donc aussi soumise que si elle répondait aux trois Lois élémentaires de la robotique que j’ai citer dans son caractère… Cette jeune fille en plein apprentissage des sentiments humains assimile donc la force et la violence de son maître à un comportement « normal ». Seule une aide extérieure peut donc la tirer de ce mauvais pas et lui apprendre les sentiments qu’un humain normalement constitué ressent.
Un dernier détail : la cyborg possède un collier de la forme d’une petite clé. Mais elle ignore tout de cet objet.
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